PHILALÈTHE.

  1. PHILALÈTHE. PHILALÈTHE. choses qui

échappent à présent à notre entendement. § 15. Mais la
démonstration, fondée sur des idées moyennes, donne une
connaissance raisonnée. C’est parce que la liaison de l’idée
moyenne avec les extrêmes est nécessaire, et se voit par une
juxtaposition d’évidence, semblable à celle d’une aune qu’on
applique tantôt à un drap et tantôt à un autre pour faire voir
qu’ils sont égaux. § 16. Mais, si la liaison n’est que probable,
le jugement ne donne qu’une opinion.
THÉOPHILE. Dieu seul a l’avantage de n’avoir que des
connaissances intuitives. Mais les âmes bienheureuses, quelque
détachées qu’elles soient de ces corps grossiers, et les génies
mêmes, quelque sublimes qu’ils soient, quoiqu’ils aient une
connaissance plus intuitive que nous sans comparaison et qu’ils
voient souvent d’un coup d’oeil ce que nous ne trouvons qu’à
force de conséquences, après avoir employé du temps et de la
peine, doivent trouver aussi des difficultés en leur chemin, sans
quoi ils n’auraient point le plaisir de faire des découveries, qui
est un des plus grands. Et il faut toujours reconnaître qu’il y
aura une infinité de vérités qui leur sont cachées, ou tout à fait,
ou pour un temps, où il faut qu’ils arrivent à force de
conséquences et par la démonstration ou même souvent par
conjecture.
PHILALÈTHE. Donc ces génies ne sont que des animaux plus
parfaits que nous ; c’est comme si vous disiez avec l’empereur
de la lune que c’est tout comme ici.
THÉOPHILE. Je le dirai, non pas tout à fait, mais quant au fond
des choses, car les manières et les degrés de perfection varient
à l’infini. Cependant le fond est partout le même, ce qui est une
maxime fondamentale chez moi et qui règne dans toute ma
philosophie. Et je ne conçois les choses inconnues ou
confusément connues que de l,i manière de celles qui nous sont
distinctement connues : ce qui rend le philosophie bien aisée,
et je crois bien qu’il en faut user ainsi ; mais, si cette
philosophie est ia plus simple dans le fond, elle est aussi la
plus riche dans les manières, parce que la nature les peut varier
à l’infini, comme elle le fait aussi avec autant d’abondanci>,
d’ordre et d’ornements qu’ail est possible de se figurer. C’est
pourquoi je crois qu’il n’y a point de génie, quelque sublime
qu’il soit, qui n’en ait une infinité au-dessus de lui. Cependant,
quoique nous soyons fort inférieurs à tant d’êtres intelligents,
nous avons l’avantage de n’être point contrôlés visiblement
dans ce globe, où nous tenons sans contredit le premier rang ;
et, avec toute l’ignorance où nous sommes plongés, nous avons
toujours le plaisir de ne rien voir qui nous surpasse. Et, si nous
étions vains, nous pourrions juger comme César, qui aimait
mieux être le premier dans une bourgade que le second à
Rome. Au reste, je ne parle ici que des connaissances naturelles
de ces esprits, et non pas de la vision béatifique, ni des
lumières surnaturelles que Dieu veut bien leur accorder.
§ 9. PHILALÈTHE. Comme chacun se sert de la raison, ou à part
soi, ou envers un autre, il ne sera pas inutile de faire quelques
réflexions sur quatre sortes d’arguments dont les hommes sont
accoutumés de se servir pour entraîner les autres dans leurs
sentiments ou du moins pour les tenir dans une espèce de
respect qui les empêche de contredire. Le premier argument se
peut appeler argrumentum ad verecundiam, quand on cite
l’opinion de ceux qui ont acquis de l’autorité par leur savoir,
rang, puissance ou autrement ; car lorsqu’un autre ne s’y rend
pas promptement, on est porté a le censurer comme plein de
vanité, et même à le taxer d’insolence. § 20. il y a (2)
l’argumentum ad ignorantiam, c’est d’exiger que l’adversaire
admette la preuve ou qu’il en assigne une meilleure. § 21. Il y a
(3) argumentum ad hominem, quand on presse un homme par
ce qu’il a dit lui-même. § 22. Enfin il y a (4) argumentum ad
judicium, qui consiste à employer des preuves tirées de
quelqu’une des sources de la connaissance ou de la
probabilité ; et c’est le seul de tous qui nous avance et instruit ;
car si par respect je n’ose point contredire, ou si je n’ai rien de
meilleur à dire, ou si je me contredis, il ne s’ensuit point que
vous ayez raison. Je puis être modeste, ignorant, trompé, et
vous pouvez vous être trompé aussi.
THÉOPHILE. Il faut sans doute faire différence entre ce qui est
bon à dire et ce qui est vrai à croire. Cependant, comme la
plupart des vérités peuvent être soutenues hardiment, il y a
quelque préjugé contre une opinion qu’il faut cacher.
L’argument ad ignorantiam est bon dans les cas à présomption
où il est raisonnable de se tenir à une opinion jusqu’à ce que le
contraire se prouve. L’argument ad hominem a cet effet qu’il
montre que l’une ou l’autre assertion est fausse, et que
l’adversaire s’est trompé de quelque manière qu’on le prenne.
On pourrait encore apporter d’autres arguments dont on se sert,
par exemple, celui qu’on pourrait appeler ad veriiginem,
lorsqu’on raisonne ainsi : si cette preuve n’est point reçue,
nous n’avons aucun moyen de parvenir à la certitude sur le
point dont il s’agit, ce qu’on prend pour une absurdité. Cet
argument est bon en certain cas, comme si quelqu’un voulait
mer les vérités primitives et immédiates, par exemple, que rien
ne peut être et n’être pas en même temps, car s’il avait raison il
n’y aurait aucun moyen de connaître quoi que ce soit. Mais
quand on s’est fait certains principes et quand on les veut
soutenir, parce qu’autrement tout le système de quelque
doctrine reçue tomberait, l’argument n’est point décisif ; car il
faut distinguer entre ce qui est nécessaire pour soutenir nos
connaissances, et entre ce qui sert de fondement à nos doctrines
reçues ou à nos pratiques. On s’est servi quelquefois chez les
jurisconsultes d’un raisonnement approchant pour justifier la
condamnation ou la torture des prétendus sorciers sur la
déposition d’autres accusés du même crime, car on disait : Si
cet argument tombe, comment les convaincrons-nous ? et
quelquefois en matière criminelle certains auteurs prétendent
que dans les faits où la conviction est plus difficile, des
preuves plus légères peuvent passer pour suffisantes. Mais ce
n’est pas une raison. Cela prouve seulement qu’il faut
employer plus de soin, et non pas qu’on doit croire plus
légèrement, excepté dans les crimes extrêmement dangereux,
comme, par exemple, en matière de haute trahison, où cette
considération est de poids, non pas pour condamner un homme,
mais pour l’empêcher de nuire ; de sorte qu’il peut y avoir un
milieu, non pas entre coupable et non coupable, mais entre la
condamnation et le renvoi dans les jugements où la loi et la
coutume l’admettent. On s’est servi d’un semblable argumeit
en Allemagne depuis quelque temps pour colorer les fabriques
de la mauvaise monnaie ; car, disait-on, s’il faut se tenir aux
règles prescrites, on n’en pourra point battre sans y perdre. Il
doit donc être permis d’en détériorer l’alliage. Mais outre
qu’on devait diminuer le poids seulement, et non pas l’alliage
ou le titre, pour mieux obvier aux fraudes, on suppose qu’une
pratique est nécessaire, qui ne l’est point ; car il n’y a point
d’ordre du ciel ni de loi humaine qui oblige à battre monnaie
ceux qui n’ont point de mine ni d occasion d’avoir de l’argent
en barres ; et de faire monnaie de monnaie, c’est une mauvaise
pratique, qui porte naturellement la détérioration avec elle.
Mais comment exercerons-nous, disent- ils, notre régale d’en
battre ? La réponse est aisée. Contentez-vous de faire battre
quelque peu de bon argent, même avec une petite perte, si vous
croyez qu’il vous importe d’être mis sous le marteau, sans que
vous ayez besoin ni droit d’inonder le monde de méchant
billon.
§11. PHILALÈTHE. Après avoir dit un mot du rapport de notre
raison aux autres hommes, ajoutons quelque chose de son
rapport à Dieu, qui fait que nous distinguons entre ce qui est
contraire à la raison et ce qui est au-dessus de la raison. De la
première sorte est tout ce qui est incompatible avec nos idées
claires et distinctes ; de la seconde est tout sentiment dont nous
ne voyons pas que la vérité ou la probabilité puisse être déduite
de la sensation ou de la réflexion par le secours de la raison.
Ainsi l’existence de plus d’un Dieu est contraire à la raison, et
la résurrection des morts est au-dessus de la raison.
THÉOPHILE. Je trouve quelque chose à remarquer sur votre
définition de ce qui est au-dessus de la raison, au moins si vous
la rapportez à l’usage reçu de cette phrase ; car il me semble
que de la manière que cette définition est couchée, elle va trop
loin d’un côté et pas assez loin de l’autre ; et si nous la suivons,
tout ce que nous ignorons et que nous ne sommes pas en
pouvoir de connaître dans notre présent état serait au-dessus de
la raison, par exemple, qu’une telle étoile fixe est plus ou
moins grande que le soleil, item que le Vésuve jettera du feu
dans une telle année, ce sont des faits dont la connaissance
nous surpasse, non pas parce qu’ils sont au- dessus des sens, car
nous pourrions fort bien juger de cela si nous avions des
organes plus parfaits et plus d’information des circonstances. Il
y a aussi des difficultés qui sont au-dessus de notre présente
faculté, mais non pas au-dessus de toute la raison : par
exemple, il n’y a point d’astronome ici-bas qui puisse calculer
le détail d’une éclipse dans l’espace d’un Pater et sans mettre
la plume à la main, cependant il y a peut-être des génies à qui
cela ne serait qu’un jeu. Ainsi toutes ces choses pourraient être
ren- dues connues ou praticables par le secours de la raison, en
supposant plus d’information des faits, des organes plus
parfaits et l’esprit plus élevé.
PHILALÈTHE. Cette objection, cesse si j’entends ma définition
non seulement de notre sensation ou réflexion, mais aussi de
celle de tout autre esprit créé possible.
THÉOPHILE. Si vous le prenez ainsi, vous avez raison. Mais il
restera l’autre difficulté, c’est qu’il n’y aura rien au-dessus de
la raison suivant votre définition, parce que Dieu pourra
toujours donner des moyens d’apprendre par la sensation et la
réflexion quelque vérité que ce soit ; comme, en effet, les plus
grands mystères nous deviennent connus par le témoignage de
Dieu, qu’on reconnaît par les motifs de crédibilité sur lesquels
notre religion est fondée, et ces motifs dépendent sans doute de
la sensation et de la réflexion. Il semble donc que la question
est, non pas si l’existence d’un fait ou la vérité d’une
proposition peut être déduite des principes dont se sert la
raison, c’est-à-dire de la sensation et de la réflexion, ou bien
des sens externes et internes ; mais si un esprit créé est capable
de connaître le comment de ce fait ou la raison a priori de cette
vérité ; de sorte qu’on peut dire que ce qui est au-dessus de la
raison peut bien être appris, mais il ne peut pas être compris
par les voies et les forces de la raison créée, quelque grande et
relevée qu’elle soit. Il est réservé à Dieu seul de l’entendre,
comme il appartient à lui seul de le mettre en fait.
PHILALÈTHE. Cette considération me paraît bonne, et c’est ainsi
que je veux qu’on prenne ma définition. Et cette même
considération me confirme aussi dans l’opinion où je suis que
la manière de parler qui oppose la raison à la foi, quoiqu’elle
soit fort autorisée, est impropre ; car c’est par la raison que
nous devons croire. La foi est un ferme assentiment, et
l’assentiment réglé comme il faut ne peut être donné que sur de
bonnes raisons. Ainsi celui qui croit sans avoir aucune raison
de croire peut être amoureux de ses fantaisies, mais il n’est pas
vrai qu’il cherche la vérité, ni qu’il rende une obéissance
légitime à son divin maître, qui voudrait qu’il fit usage des
facultés dont il l’a enrichi pour le préserver de l’erreur.
Autrement, s’il est dans le bon chemin, c’est par hasard ; et s’il
est dans le mauvais, c’est par sa faute, dont il est comptable à
Dieu.
THÉOPHILE. Je vous applaudis fort, monsieur, lorsque vous
voulez que la foi soit fondée en raison : sans cela pourquoi
préférerions-nous la Bible à l’Alcoran ou aux anciens livres des
bramines ? Aussi nos théologiens et autres savants hommes
l’ont bien reconnu, et c’est ce qui nous a fait avoir de si beaux
ouvrages de la vérité de la religion chrétienne, et tant de belles
preuves qu’on a mises en avant contre les païens et autres
mécréants anciens et modernes. Aussi les personnes sages ont
toujours tenu pour suspects ceux qui ont prétendu qu’il ne
fallait point se mettre en peine des raisons et preuves quand il
s’agit de croire ; chose impossible en effet, à moins que croire
ne signifie réciter, ou répéter et laisser passer sans s’en mettre
en peine, comme font bien des gens, et comme c’est même le
caractère de quelques nations plus que d’autres. C’est pourquoi
quelques philosophes aristotéliciens des xv^ et xvi*^ siècles,
dont les restes ont subsisté encore longtemps depuis (comme
l’on peut juger par les lettres de feu M. Naudé^ et les
Naudeana), ayant voulu soutenir deux vérités opposées, l’une
philosophique et l’autre théologique, le dernier concile de
Latran sous Léon X eut raison de s’y opposer comme je crois
avoir déjà remarqué. Et une dispute toute semblable s’éleva à
Helmstaedt autrefois entre Daniel Hoffmann 2, théologien, et
Corneille Martin, philosophe ; mais avec cette différence que
le philosophe conciliait la philosophie avec la révélation, et
que le théologien en voulait rejeter l’usage. Mais le duc Jules,
fondateur de l’université, prononça pour le philosophe. Il est
vrai que de notre temps une personne de la plus grande
élévation disait qu’en matière de foi il fallait se crever les yeux
pour voir clair, et Tertullien dit quelque part : Ceci est vrai, car
il est impossible ; il le faut croire, car c’est une absurdité. Mais
si l’intention de ceux qui s’expliquent de cette manière est
bonne, toujours les expressions sont outrées et peuvent faire du
tort. Saint Paul parle plus juste lorsqu’il dit que la sagesse de
Dieu est folie devant les hommes ; c’est parce que les hommes
ne jugent des choses que suivant leur expérience, qui est
extrêmement bornée, et tout ce qui n’y est point conforme leur
paraît une absurdité. Mais ce jugement est fort téméraire, car il
y a même une infinité de choses naturelles qui nous passeraient
pour absurdes sf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034359p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034339p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034240p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034157p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310221148p:plainf:id:gpdimonderose:20160312231034p:plain

geniustringholex

  1. EreigniStringspazioteMpora dell'essere EVENTO È già lì è in sé È L'EVENTO Già Lì EVENTO in sé EVENTO dell'essere è già essere di per sé dal nulla esserci dal nulla L'EVENTO È già si dà è lì EVENTO lì EVENTO dell'Essere vi è EVENTO È perché si è perché È EVENTO è di là: è EVENTO in sé È L'essere è EVENTO È già c'è da lì vi è c'è Dà vi è EVENTO di lì EVENTO da lì EVENTO è sempre vi è già è già crea esserCi già EVENTO è in sé già È EVENTO si è EVENTO è è EVENTO-Essere è EVENTO essere-nulla essere EVENTO dal nulla è EVENTO al di là c'è già dell'EVENTO già è già EVENTO è già EVENTO. È già È di per sé EVENTO già c'è là Essere vi è di per sé EVENTO già C'è È lì È Essere è EVENTO Esserelì esservi di per sé EVENTO al di là È EVENTO dell'Essere vi è EVENTO di sé È L'EVENTO nella radura è in sé EVENTO in sé la radura. L'EVENTO della radura è La radura è EVENTO È di per sé EVENTO in sé EVENTO Si dà Vi È EVENTO in sé È ESSESTEVENTO c'è vi è senza-perché vi è EVENTO. È-senza-perché è EVENTO-senza-perché è lì L'EVENTO senza-perché è l'EVENTO già vi è EVENTO È EVENTO Già È L'EVENTO RADURA'EVENTOdell'ESSERE: vi è lì EreigniStringx È EVENTO al di là ereigniStringx ereignistringEVENTO in sé ereignistringholex ereigniStringEVENTO ereigniStringx È essere già esserne eventoereignistringholex ereigniSTringXrisonanza ereignistringxEVENTO ereignistringx ereigniStringEVENTO ereignistringx è ereignistringholex EVENTOereignistringholex EVENTOdell'Essere ereignistringx ereignistringEVENTO ereignistringx È in sé EVENTO È EreignistringEVENTO c'è EVENTO crea Dal nulla EVENTO dal nulla. L'essere vi è in sé di per sé al di là vi è c'è vi è È c'è vi è c'è È“EVENTO”Già È v’è È EVENTO si è in sé EVENTO È EVENTO lì è in sé kreatrix in sé EVENTO-in-sé dell'EVENTO in sé lì già dà esserci in sé.f:id:gpdimonderose:20160310221148p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034240p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034157p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034339p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034359p:plain

thomphalostringravitholex



e88ere
ontopologia sublime

transontology sublime

stato e88ere, nel mondo reale giacinto rosenf:id:gpdimonderose:20160310221148p:plainf:id:gpdimonderose:20160310221148p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034339p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034359p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034157p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034240p:plain omphalos

07 Gennaio 2009

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•2008-02 26 diari

monadaseinstringholex

  1. Già ultimEVENTO essere Oltre l'Infinito EVENTO d'essere è radurEVENTO già è essere è fondamentA è essere infinitopia è" in sé dà ultimEVENTO essere-dal-nulla. L'è è EVENTOdell'essere lì EVENTO di sé è Oltre È EVENTO dal "Nulla è infinitopia EVENTOdell'essere c'è là MetEVENTO essestEVENTO è tranSEVENTO Physix al di là EVENTOdell'Essere'ontologox skema dell'EVENTO Lì EVENTUa infinità essere è niente di più e niente altro che EVENTO in sé è nihilEVENTO InfinitesimalixEVENTO MEtEVENTO si è Qui EVENTOd'essere esservi esserci: è EVENTOUxesserCi "L'è è Lì Qui EVENTO infinitopia Va da sé c'è sempre nello spazio all'infinito c'è spazialEVENTO dell'essere. L'è EVENTO dell'essere è già essere di per sé dal nulla esserci dal nulla Va da sé è radurà paradossalEVENTO è esservi c'è È in sé essere EVENTO è infinitesimalEVENTO'ultimEVENTO è dà È da lì infinitesimEVENTO MetEVENTO singularEVENTO RadurEVENTO Raduresserci è essere d'EVENTO'infinità di infinitoPIa RadurEVENTOdell'esserci per l'è c'è EVENTO c'è è già d"Al-nulla c'è già vi è infinitamentEVENTO essere"Radura lì c'è già C'è già esserci Dal nulla da lì in sé EVENTO-dal-nulla c'è L'EVENTO all'infinito infinità ontologoxdell'infinitoessere È EVENTO RadurEVENTO MetEVENTO c'è l'EVENTO di infinitopia È già dell'essere infinità c'è si è esserEVENTO dal nulla dell'infinitopia spazialEVENTO spaziotempo c'è " infinitatixEVENTO" dal nulla già si dà è lì EVENTO lì all'infinito KatEVENTO "SpazialEVENTO" d'Essere dal "Nulla dell'esserEVENTO è già dà già È vi è è perché è c'è EVENTO dell'essere l'è all'infinito EVENTO dell'Essere MonadologOx EVENTO senza fine creatrixEVENTO vi è EVENTO È infinitesimux MetEVENTO Monadologox già vi è là Fondamenta infinitopia'ultimEVENTA all'infinito è perché è EVENTO "Esservix È InfinitesserEVENTO"all'infinitoEVENTO"all'infinito è infinitopia è c'è infinitesimEVENTO è oltre l'infinito è esserV'infinitopia va da sé l'infinitEVENTO dà essere è perché si è perché è EVENTO esserinfinitoltre per essere EVENTO raduressere RaduraEVENTX vi è dal nulla d'esserEVENTO vi è oltre all'infinito" dal nulla EVENTO dell'infinitopia È EVENTO EVENTO Creodal'EVENTO è esservi esserci esserEVENTO è di là: è EVENTO è l' è. L' è è EVENTO è perché è evento È infinitesimalEVENTO dell'essere è Dà dal nulla dell'Essere EVENTessere li è in sé È essere InfinitEVENTO è EVENTO" all'infinito"CreodOEVENTO dal nulla è è EVENTO dell"infinito è di per sé perché è Va da sé vi è esserEVENTO esserci esservi esseréCreodaleEVENTO è spazialEVENTO: è EVENTX L'è è infinitopia Dà spazialEVENTO. L'essere è EVENTO È già Mathesix CreoDaleEVENTO è spazialeEVENTO Così è infinitopia spazialEVENTO è'ultimEVENTOinfinitesimalEVENTOspaziatempora spaziotempo EVENTO nello spaziotempo spazioEVENTO spaziotempo infinitopia è "infinità è esserEVENTO è l'EVENTOInfinito di per sé è fondamenta dell'infinitopia c'è da lì vi è c'è Dà vi è essere lì CreodoEVENTO dell'infinitopia vi è infinitesimalEVENTO di lì EVENTO da lì EVENTO è sempre vi è già è fondamenta "L" è EVENTO dell'essere EVENTO Dell'infinitopia di EsserEVENTO c'è nulla CreoDEVENTO è" eventusessere Physix Dà METEVENTO essere nulla è essere in sé CreoDEVENTO dell'infinitoPia infinitesimalesserEVENTO essere nulla già dell'infinitopia è è EVENTO Dà già spazialEVENTO Radura vi è Creodo RadurEVENTO Essere è MetEVENTEssere è l'è si è c'è differenzialEVENTO "nullità" " Lì EVENTOf:id:gpdimonderose:20160310034137p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034157p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034157p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034137p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034240p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034240p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034309p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034339p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034339p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034359p:plainf:id:gpdimonderose:20160310034359p:plain

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Risultati da 1 a 25 (di 72 in totale) per au: Mohaupt_T
1. arXiv: 1.511,06,658 mila[ pdf, ps, altro]

la geometria dell'Assia e l'anomalia olomorfo

Gabriel Lopes Cardoso, Thomas Mohaupt

Commenti:43 pagine.Versione rivista: modifiche minime.Versione definitiva, accettato per la pubblicazione dal JHEP

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-TH);Geometria Differenziale (math.DG)
2. arXiv: 1507,04,62 mila[ pdf, ps, altro]

speciale geometria euclidea della Supersimmetria IV: la C-MAP locale

Vicente Cortés, Paul Dempster, Thomas Mohaupt, Owen Vaughan

Commenti:70 pagine, 2 tavoli, 1 figura

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-TH);Geometria Differenziale (math.DG)
3. arXiv: 1.501,07,863 mila[ pdf, altro]

Brane Nernst dalla geometria

Paul Dempster, David Errington, Thomas Mohaupt

Commenti:37 pagine.v2: numerici pre-fattori di campi scalari Q_A corretti nella sezione 3. Nessuna modifica alle conclusioni.Riferimenti aggiunti

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
4. arXiv: 1408,0923[ pdf, ps, altro]

Non-estremali soluzioni buco nero dal C-MAP

David Errington, Thomas Mohaupt, Owen Vaughan

Commenti:57 pagine.Le modifiche minori al introduzione, errori di battitura corretti e riferimenti aggiunto.Accettato per la pubblicazione in JHEP

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
5. arXiv: 1401,5672[ pdf, ps, altro]

riduzione dei tempi-come supergravità cinque dimensioni

Vicente Cortés, Paul Dempster, Thomas Mohaupt

Commenti:41 pagine.revisione minore: una di riferimento e commenti aggiunto

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-TH);Geometria Differenziale (math.DG)
6. arXiv: 1310,5056[ pdf, ps, altro]

Non-extremal e non-BPS extremal cinque dimensioni stringhe nere dalla geometria reale speciale generalizzata

Paul Dempster, Thomas Mohaupt

Commenti:46 pagine

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
7. arXiv: 1305,3549[ pdf, ps, altro]

metriche quaternionica Kähler associati speciali collettori Kähler

Dmitri V. Alekseevsky, Vicente Cortés, Malte Dyckmanns, Thomas Mohaupt

Commenti:30 pagine, appendice esteso, versione finale pubblicata in JGP

Journal-ref:J.Geom.Phys.92 (2015) 271-287

Soggetti:Geometria Differenziale (math.DG);Fisica delle Alte Energie - Teoria (HEP-esimo)
8. arXiv: 1208,4302[ pdf, ps, altro]

Non-estremali buchi neri della R-map generalizzata

Thomas Mohaupt, Owen Vaughan

Commenti:22 pagine.Sulla base di colloquio da OV a "Oggetti neri in Supergravità scuola" (BOSS2011), INFN, Frascati, Italia, 9-13 maggio 2011

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
9. arXiv: 1205,2964[ pdf, ps, altro]

Conification di Kähler e iper-varietà di kähler

Dmitri V. Alekseevsky, Vicente Cortés, Thomas Mohaupt

Commenti:congetture sostituito con riferimento

Soggetti:Geometria Differenziale (math.DG);Fisica delle Alte Energie - Teoria (HEP-esimo)
10. arXiv: 1112,2876[ pdf, ps, altro]

Il potenziale Hesse, la C-MAP e soluzioni buco nero

Thomas Mohaupt, Owen Vaughan

Commenti:76 pagine.Seconda versione riveduta: estensione sostanziale.Ulteriori riferimenti aggiunti e discussioni estese.Costruzione di soluzioni estremali-BPS non esente da Axion per una classe di spazi bersaglio non omogenei aggiunto.Accettato per la pubblicazione in JHEP

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
11. arXiv: 1112,2873[ pdf, ps, altro]

Sviluppi in particolare geometria

Thomas Mohaupt, Owen Vaughan

Commenti:Presentato al procedimento di QTS 7, Praga, agosto 2011. Versione rivista: i riferimenti aggiunti

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
12. arXiv: 1101,5103[ pdf, ps, altro]

completezza nelle costruzioni di supergravità

V.Cortes, T.Mohaupt, H.Xu

Commenti:29 pagine

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-TH);Geometria Differenziale (math.DG)
13. arXiv: 1101,4194[ pdf, ps, altro]

Aspetti conformi di Spinor-vettore Dualità

Alon E. Faraggi, Ioannis Florakis, Thomas Mohaupt, Mirian Tsulaia

Commenti:49 pagine

Journal-ref:Nucl.Phys.B848: 332-371,2011

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-TH);High Energy Physics - Fenomenologia (HEP-ph)
14. arXiv: 1011,6301[ pdf, ps, altro]

Azioni euclidee, istantoni, Solitoni e Supersimmetria

Thomas Mohaupt, Kirk Waite

Commenti:38 pagine

Journal-ref:J.Phys.A44: 175403,2011

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
15. arXiv: 1006,3439[ pdf, ps, altro]

I fori non estremali Nero, funzioni armoniche, ed equazioni Attractor

T.Mohaupt, O.Vaughan

Commenti:33 pagine

Journal-ref:Class.Quant.Grav.27: 235008,2010

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
16. arXiv: 1002,0550[ pdf, ps, altro]

buchi neri estremali, equazioni attrattore, e armonici funzioni

T Mohaupt, K Waite

Commenti:Sulla base di discorso tenuto da TM presso l'Istituto di Corfu Estate 2009

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
17. arXiv: 0.906,3451[ pdf, ps, altro]

istantoni, i buchi neri e le funzioni armoniche

Thomas Mohaupt, Kirk Waite(Univ of Liverpool).

Commenti:58 pagine, revisione minore: alcuni riferimenti aggiunto, discussione delle equazioni di flusso del primo ordine esteso, osservazioni sulla formulazione di Hamilton-Jacobi aggiunto

Journal-ref:JHEP 0910: 058,2009

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
18. arXiv: 0.905,2844[ pdf, ps, altro]

speciale geometria euclidea della Supersimmetria III: la R-cartina, istantoni e buchi neri

Vicente Cortes, Thomas Mohaupt

Commenti:72 pagine, 2 cifre

Journal-ref:JHEP 0907: 066,2009

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
19. arXiv: 0.812,4239[ pdf, ps, altro]

dalla geometria speciale alle funzioni di partizione Black Hole

Thomas Mohaupt

Commenti:75 pagine, dispense, sulla base di lezioni tenute presso la Scuola 2007 sulle Attrattore meccanismo a Frascati e al Erwin Schrödinger-Institute, Vienna

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
20. arXiv: HEP-esimo / 0.703.037[ pdf, ps, altro]

geometria speciale, i buchi neri e euclidea supersimmetria

T.Mohaupt

Commenti:39 pagine, Contributo al Manuale sulla geometria pseudo-Riemanniana e Supersymmtry, ed.V. Cortes

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
21. arXiv: HEP-esimo / 0.703.036[ pdf, ps, altro]

Dualità e funzioni di partizione buco nero

T.Mohaupt

Commenti:5 pagine, sulla base di discorso tenuto alla 11a riunione Marcel Grossmann, Berlino, 23-29 luglio 2006

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
22. arXiv: HEP-esimo / 0.703.035[ pdf, ps, altro]

buchi neri supersimmetriche in teoria delle stringhe

T.Mohaupt

Commenti:43 pagine, sulla base di un discorso tenuto in occasione della riunione di medio termine del progetto RTN `Costituenti, forze fondamentali e Simmetrie dell'Universo 'di Napoli, 9-13 Ottobre 2006

Journal-ref:Fortsch.Phys.55: 519-544,2007

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
23. arXiv: HEP-esimo / 0.602.171[ pdf, ps, altro]

Nuovi sviluppi nella speciale geometria

Thomas Mohaupt

Commenti:27 pagine, hanno contribuito al Manuale sulla geometria pseudo-Riemanniana e Supersimmetria

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
24. arXiv: HEP-esimo / 0.601.108[ pdf, ps, altro]

Black hole partizione funzioni e dualità

GL Cardoso, B.de Wit, J.Käppeli, T.Mohaupt

Commenti:36 pagine, lattice

Journal-ref:JHEP0603: 074,2006

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
25. arXiv: HEP-esimo / 0.512.048[ pdf, ps, altro]

Strumenti ad arco, correzioni di curvatura più elevati, e buchi neri

Thomas Mohaupt

Commenti:32 pagine.Sulla base di discorso tenuto presso il 2 ° Workshop sulla matematica e aspetti fisici di Quantum Gravity, Blaubeuren, 28 luglio-1 agosto, 2005

Soggetti:fisica delle alte energie - Teoria (HEP-esimo)
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*1:ここに脚注を書きます